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Partie des adorations

Leçon 4 : Les choses qui annulent le woudou

 

Lorsque les choses qui annulent le woudou’ arrivent à quelqu’un qui a fait son woudou’, il n’est plus valable qu’il fasse la prière sauf s’il fait de nouveau le woudou’. Les choses par lesquelles le woudou’ est rompu sont les suivantes :

la sortie de quoi que ce soit par l’un des deux orifices inférieurs –antérieur ou postérieur–, comme la sortie d’urine, de selles, de gaz, de calculs, de vers ou autre.

toucher avec l’intérieur de la main le sexe ou l’anus d’un être humain, le sien ou celui de quelqu’un d’autre, sans rien qui empêche le contact direct.

le contact peau contre peau avec une personne ‘ajnabiyyah –de sexe féminin qui n’est pas inépousable à jamais à cause de liens de sang, d’allaitement ou de mariage– ayant atteint un âge où elle peut être désirée par quelqu’un de normal.

la perte de distinction, par la folie, l’évanouissement ou l’ivresse.

le sommeil autrement qu’en étant assis bien calé sur son postérieur. Par conséquent, si quelqu’un s’endort assis bien calé sur son postérieur, de sorte qu’il n’y a pas d’espace entre son postérieur et son siège, son woudou’ n’est pas annulé.

Il est interdit à celui dont le woudou’ a été rompu d’accomplir la prière –la prière obligatoire et la prière surérogatoire– ainsi que les tours rituels autour de la Ka^bah, qu’ils soient obligatoires ou surérogatoires, car les tours rituels sont comme la prière sauf qu’il y est permis de parler.

Il lui est aussi interdit de porter le livre du Qour’an (Al-Moushaf) ou de le toucher c’est-à-dire d’en toucher les pages ou la reliure qui est reliée au Moushaf, à moins qu’il y ait nécessité.

Il est cependant permis à celui dont le woudou’ est rompu de réciter le Qour’an, d’entrer dans une mosquée et d’y rester.

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